Category: Inceste/Tabou Histoires

Insectes

by Jipai©

Maryse aime écrire, Maryse aime correspondre et raconter à des inconnus ses aventures. Encore une fois elle fait voyager son correspondant dans le chaos torride de son imaginaire.

Si le cœur vous en dit, suivez la à votre tour...

6 mars ....

Pardon pour hier, je ne sais vraiment pas ce qui s'est passé, j'espère que la frustration ne fut pas trop grande. Pour me faire pardonner voici de nouvelles aventures, en espérant encore vous plaire.

Un jour je me promenais dans une rue derrière le quai de la Mégisserie quand mon regard fut attiré par la devanture d'un vieux magasin. Il s'y vendait toutes sortes d'insectes. Aussitôt il me revint en mémoire l'aventure que j'avais vécu pendant cette promenade scolaire au parc animalier et tout ces gosses qui s'étaient rincé l'œil en me voyant me débattre avec les fourmis remontant mes cuisses. Une sorte de trouble m'a à nouveau envahie, entre honte et frissons pendant que je regardais rêveuse, la boutique qui exposait aquariums et bocaux en vitrine. Un vieux type est apparu sur le seuil, il me dévisageait derrière se lunettes épaisses comme des culs de bouteilles et après quelques secondes il m'a demandé si je voulais en voir davantage dans sa boutique. Instinctivement j'ai dit oui et j'ai suivi le vieux bonhomme en blouse grise et béret vissé sur un crane dégarni. Il était vouté ce qui faisait paraitre plus petit encore son corps sec et décharné. Ne me demandez pas pourquoi, je serais bien incapable de vous répondre, mais les insectes surement y étaient pour quelques choses, il y avait la dedans des être étranges, parfois fascinants, parfois inquiétants comme différentes araignées exotiques et velues.

J'ai regardé les aquariums un moment, dans cette boutique uniquement éclairée par le jeu de lumière qui baignait les récipients de verre. Le vieux me suivait d'un peu plus loin, me fournissant des explications sur telle ou telle race d'insecte. J'étais assez fascinée par cet univers que je ne connaissais pas, curieuse des explications. Il s'est aperçu de mon intérêt et il s'est rapproché au point de sentir mon odeur rance de vieux mal lavé. Il était la, juste derrière moi et à chaque aquarium, il me donnait le nom et toutes les explications concernant les insectes qui peuplaient les lieux. Quand j'eus fait le tour, il me demanda si je voulais en voir davantage. J'ai dit oui et il m'a entrainé dans son laboratoire tel qu'il l'avait nommé. Pour m'entrainer avec lui il avait passé sa main sur ma taille et je sentais une main chaude s'appuyer sur le fin tissu de mon corsage à travers duquel, il devait sentir le haut de mon collant qui enserrait ma taille. J'en ai frémi et je l'ai suivi.

Dans l'arrière boutique il y avait d'autres aquariums qui faisaient tout le tour de la pièce. Au milieu, une grande table blanche servait de paillasse. Le vieux m'a emmené devant un aquarium plein de criquets, il m'a donné encore de ses explications sur ces insectes d'Afrique si voraces, mais si curieux quand on les posait sur la peau. Il a pris ma main et il m'a mis la main dans l'aquarium avant que je ne puisse me reculer. Je dois dire que j'ai été surprise de la sensation produite par ces pattes aux crochets trop fins pour vous blesser, mais suffisamment pour que vous les sentiez s'accrocher à vous. Ajouter le frôlement des ailes et la sensation était étrange, troublante.

« Savez-vous que les femmes africaines s'en servent parfois dans des jeux coquins? »

J'ai secoué ma tête négativement, frissonnante de sentir sur ma main ces petites bêtes qui allaient et venaient.

« Voulez vous essayer? » Et devant mon absence de réponse, le vieux s'est approché de moi pour défaire les boutons de mon corsage. Comme j'avais un mouvement de recul, il m'a souri et d'une voix douce il m'a dit de lui faire confiance. Bientôt ma poitrine se trouva dénudée et mon soutien gorge s'offrait au regard luisant du vieux type qui ouvrait de grands yeux devant les bonnets bien garnis. Il prit deux criquets qu'il posa sur chacun de mes seins. Je sursautais mais son sourire confiant me conforta. Un peu tendue, je regardais les deux coléoptères bouger sur ma peau fine et je commençais à ressentir des frissons d'un nouveau genre. Bientôt les chatouilles devinrent vite de douces caresses qui m'étaient nouvelles, apportant des sensations érotiques évidentes. Le vieux me regardait avec intérêt, guettant sur mon visage les bienfaits des deux insectes. Il s'aperçu vite de mon trouble car je devais rougir malgré moi, luttant pout cacher ce que je ressentais. Mais allais-je pouvoir me contenir longtemps? Les deux criquets qui se mouvaient sur mes seins me procuraient de telles sensations que j'en frémissais déjà. Malgré moi j'ai sentis mes pointes de seins durcir et mes globes pousser fort contre la dentelle de mon soutien gorge.

C'est à ce moment que le vieux type s'est penché vers moi et m'a dit: «Permettez moi» et sans attendre de réponse de ma part, sa main leste s'est glissée sous mon bonnet et prestement il a fait surgir mon bourgeon tendu. Tout aussi prestement il m'a sorti l'autre sein et je me suis retrouvée la, seins nus devant le vieux. Sa main a plongé dans l'aquarium et il a posé deux autres criquets sur mes seins. J'ai poussé un cri de surprise, un frisson me vrillant l'échine tandis que les insectes me griffaient doucement la peau, mais si doucement que s'en était un délice. J'ai senti qu'ils se mouvaient vers mes tétons et aussitôt ils se sont dressés, durs et tendus tandis que les bêtes escaladaient mes bouts. J'ai gémi sous cette douce attaque, mes seins se sont tendus comme ceux d'une adolescente qui se fait embrasser au cinéma tandis que la main de son copain lui masse les seins. J'avais à nouveau seize ans et des seins comme des obus. Dans le même temps je sentais que mon collant sous ma jupe se mouillait au niveau du gousset, j'étais la dans cette arrière boutique à éprouver des sensations nouvelles qui m'entrainaient vers la jouissance. Oui, il faut le dire, j'allais droit à l'orgasme, rien qu'avec ces deux petites bêtes accrochées à mes tétons et qui me frôlaient délicieusement de leurs ailes.

J'ai du m'appuyer à la table tant la sensation était forte, j'ai mordu mes lèvres pour ne pas crier mais je n'ai pu résister longtemps à la vague de plaisir que les deux criquets faisaient monter en moi et dans cette arrière boutique inconnue une demie heure plus tôt, j'ai crié mon bonheur sous le regard satisfait d'un vieux type les yeux rivés sur mes nichons exacerbés. Je les sentais si durs, les nerfs à fleur de leur peau fine qui éprouvaient chaque mouvement des insectes, faisant frissonner toute leur masse tendues.

Oui, j'ai joui la devant un inconnu, mais d'une jouissance nouvelle, que je découvrais avec un délice et que je ne pouvais dissimuler.

J'espère que vous aussi vous êtes tendu à cet instant, allez soulagez vous en pensant à moi.

7 mars ....

Un petit cadeau matinal pour me faire pardonner ma maladresse de l'autre jour.

Mes sens n'étaient pas apaisés pour autant, j'avais les joues en feu pendant que les criquets continuaient leurs agaçantes chatouilles si ciblées, si ponctuelles mais si efficaces. Je continuais à gémir tant le sensation était forte.

J'ai senti le vieux se rapprocher de moi et me glisser à l'oreille «Vous êtes la femme la plus réactive que j'ai eu l'occasion de voir.» J'ai sursauté tant j'étais concentrée sur les frôlements d'ailes qui titillaient mes seins. Il était très près dans mon dos et j'ai senti un souffle dans les fins cheveux de ma nuque. J'ai senti aussi ses deux mains toujours aussi chaudes venir en coupe sous mes seins pour soupeser mes globes tendus. «Vos seins ont durcis, vous êtes vraiment très sensibles à mes criquets, je peux vous en mettre davantage, vous verrez, ce sera divin, laissez moi juste vous en mettre encore et vous verrez.»

Il s'est dirigé vers l'aquarium et il est revenu avec quatre autres insectes qu'il a posé sur la chair blanche de mes nichons. J'ai eu un râle tandis que les bestioles se mettaient à courir sur la surface de ma peau. Le vieux me faisait face maintenant, souriant de satisfaction. Très doucement, j'ai senti une main me frôler la cuisse et la caresser. J'étais si excitée que je n'ai pas eu le réflexe de le repousser et sa main s'est montrée plus hardie, progressant rapidement vers mon pubis qu'il s'est mis à me masser à travers ma jupe. Je tremblais, j'étais à nouveau proche de défaillir, si excitée que mes cuisses se sont disjointes et la main du vieux type a pu tout à son aise me masser la vulve. Je gémissais, je soupirais, et quand j'ai senti monter en moi une nouvelle vague de plaisir, je me suis offerte à ses caresses appuyées sur mon sexe. Ses doigts longs et habiles ont accentué leur pression sur ma fente et je suis partie dans l'orgasme, ne pouvant résister aux chatouilles qui torturaient mes seins et cette main étrangère qui me palpait à travers ma jupe.

Une seconde fois des frissons sauvages sont venus m'emporter comme les vagues et j'ai un peu perdu le sens des réalités. C'est à ce moment la que le vieux, profitant de ma faiblesse passagère a passé une main leste sous ma jupe et a remonté en caressant mon collant jusqu'à la fourche trempée de mes deux cuisses disjointes, empaumant ma fente et la fouillant de ses doigts qui enfonçaient le fin collant jusqu'en dedans de moi.

«Tu es trempée comme une belle salope!» a t il commenté en frottant fort ma chatte. J'ai gémi à nouveau, j'étais si faible, si demandeuse de ce bonheur indicible de sentir mes seins démangés de millions de minuscules morsures. Les doigts du vieux se sont mis à me masturber avec vigueur et je l'ai laissé faire, sentant revenir les vagues de plaisir, gémissante et pantelante. Ces insectes annihilaient toute résistance en moi, je n'étais tendue que vers le désir, le plaisir, la jouissance que je sentais renaitre aux creux de mes reins sous la double action des doigts habiles qui trituraient mon clitoris et des criquets qui agaçaient mes tétons.

Je n'ai jamais ressenti rien de tel, une troisième vague m'a emportée sous les encouragements du vieux qui proférait à mon oreille des insanités, me racontant combien ma chatte était inondée, comment mes nichons étaient durs et dardés, enflés en volume, mes tétons rigides, tendus vers le plafond.

«Braves petites bêtes!»

Il s'est à nouveau éloigné de moi avant de revenir avec d'autres criquets, qu'il m'a posé une fois encore sur les seins et les chatouilles se sont multipliées. J'étais dans l'impossibilité de protester, je tremblais de tout mes membres comme envoutée. Mes gémissements étaient continus tant je ressentais les insectes qui électrisaient le moindre nerf de cette partie de moi si sensible. Je ne vivais que pour cette sensation étrange, j'en redemandais, et le vieux multipliait les criquets qui maintenant me couvraient les nichons. Ils disparaissaient sous une foultitude verdâtre d'ailes grouillantes et excitantes.

«Va y ma belle laisse toi aller!»

Et j'ai obéi au vieux qui avait repris sa place entre mes cuisses et me massait le clitoris entre deux doigts. J'ai crié mon plaisir, ne me retenant plus, offrant mon bassin au vieux pour lui facilité la tache, écartant mes cuisses, les seins couverts d'une masse grouillante qui tyrannisait mes tétons. J'ai crié fort et longtemps, j'ai gémis en me tordant sous des sensations jusque la inconnues, libérant ce que j'avais en moi de plus bestial, je n'étais plus qu'une machine à jouir, oubliant l'indécence de ce que je subissais, mon sexe qui s'offrait à ce vieux lubrique, mes seins enflés au point d'en être maintenant douloureux les râles rauques sortant de ma gorge comme une bête, je jouissais pour la quatrième fois avant de m'effondrer, haletante, le souffle court, épuisée de trop de bonheur.

Promptement, le vieux m'a retiré les insectes un par un avant de les remettre dans l'aquarium. Quand il eut fini je baissais les yeux vers mes seins, ils étaient rouges, presque au sang, ils restaient gonflés et durs et cette fois, ils étaient réellement douloureux.

Ou sont vos mains?

8 Mars....

Merci pour ce long message que vous m'avez envoyé et qui me fait tant plaisir et d'autres sensations aussi. (Je vous laisse deviner lesquelles!)

Mais vous allez un peu vite, laissez moi revenir chez moi et reprendre un peu mes esprits après cette rencontre pour le moins particulière.

J'étais épuisée, il se faisait tard et il était grand temps pour moi de rejoindre mon logis où devait déjà m'attendre Eric.

Je m'ébrouais, redescendant sur terre et reprenant conscience du lieu et de la situation. Le vieux type me matait d'un air lubrique autant que satisfait. J'en eus honte et je rabattis instinctivement les pans de mon chemisier sur mes seins dénudés. C'est la que je me rendis compte de leur transformation, la texture de la chair avait changée, beaucoup plus ferme que précédemment, et puis leur volume aussi, c'est à peine si je pouvais les couvrir de mon corsage. Stupéfaite, je baissais les yeux pour les examiner, je fus effrayer par l'apparence de mes seins, la peau était rouge des gratouilles des insectes mais surtout ils étaient enflés, en obus, hypertrophiés et toujours sensible.

Affolée, je regardais le vieux, cherchant une explication voir un secours. Son sourire était serin, «Ne vous en faites pas me dit il en voyant ma stupeur, les effets mettent parfois plusieurs heures avant de disparaitre.»

«Mais...mais comment cela peut il se produire?!»

«C'est la salive des criquets qui est irritante, un petit inconvénient mais je vous le répète c'est sans danger.»

J'essayais de mettre de l'ordre dans ma tenue, remettre mes seins dans mon soutien gorge, mais celui-ci s'avérait trop petit désormais, je n'arrivais plus à loger ces deux gros ballons pointus qui me servaient de seins à présent. Le vieux suivait mes tentatives infructueuses à me rhabiller et devant mes yeux effrayés il me sourit à nouveau. «Un petit inconvénient qui devrait disparaitre bientôt me dit il, soyez confiante et profitez de l'aubaine d'avoir de si gros nichons pendant quelques heures!»

«Mais, ils sont déjà assez gros comme ça! comment vais-je faire pour rentrer?!»

«Sous votre manteau personne ne se rendra compte de la petite anomalie et puis, je vous le répète il ne s'agit que de quelques heures.»

Quelques heures! On voyait bien que ce n'était pas lui qui subissait l'inconvénient, il m'était déjà arrivé d'avoir des complexes par rapport à ma poitrine que je trouvais parfois encombrante, mais la, je ne pouvais même plus faire entrer mes seins dans le soutien gorge!

«Ce n'est pas bien grave me dit il devant mon désarroi, laissez les en dehors des bonnets, refermez votre corsage et rentrez comme ça, sous votre manteau personne ne se rendra compte.»

C'est ce que j'ai du faire en définitive, laisser mes seins hors de leur abris et essayer de les cacher sous un corsage devenu bien trop juste lui aussi tant j'avais eu de peine à refermer les boutons.

Quand j'ai quitté la boutique, j'ai ressenti une sensation étrange, j'avais l'impression que tout le monde se rendait compte de ma transformation. Je baissais les yeux en avançant, tenant serrés contre moi les pans de mon manteau qui me cachait certes, mais ne laissait rien ignorer de la taille de mes mamelles sous le lourd tissu. A chaque homme croisé, j'avais le sentiment qu'il fixait ma poitrine et que l'émotion devait le gagner aussitôt. J'imaginais des piétons, tous en érection, fantasmant sur mes nichons.

Il a encore fallu que je prenne le métro, bondé bien sur à la sortie des bureaux, et subir la promiscuité des voyageurs

plus ou moins odorants, plus moins collants et plutôt plus que moins et qui me serraient par devant comme par derrière, écrasant mon fessier contre leur pubis et testant ma poitrine par devant en se collant à moi. Quelle gêne j'ai éprouvé, d'autant plus que mon émotion n'était pas tout à fait retombée, et coincée entre tout ces hommes j'ai senti revenir la chaleur au creux de mon ventre. Bien vite leurs mains se sont faites curieuses de mes cuisses, de mes fesses et même de mon pubis. Je ne pouvais pas bouger sans encore attirer plus de regards sur moi et donc je suis restée la, serrant les dents, soupirante dans l'attente de voir arriver la fin de mon voyage.

J'ai du me mordre les lèvres pour ne pas crier quand j'ai senti des doigts qui me massaient la vulve par-dessus la jupe, j'aurais voulu serrer mes cuisses mais j'étais trop excitée encore et au lieu d'avoir le bon réflexe, je les ai ouverte. Les doigts ont progresser, j'ai senti qu'il me prenait entièrement le mont de Vénus dans la main et il m'a masturbé ainsi. J'étais affolée, atterrée à l'idée que les voyageurs pourraient se rendre compte de quelque chose, je tournais la tête inquiète de leurs réactions. Rien ne semblait anormal pourtant, et la main brulante me caressait la fente avec application. J'ai levé la tête et mes yeux ont rencontré les siens, j'ai vu un homme assez jeune, grand et bien mis. Il était beau aussi, pourquoi le nier. Un sourire de connivence aux coins des lèvres il m'a regardée tout en me masturbant, et je ne pouvais plus le quitter des yeux, j'étais hypnotisée par son regard clair. Parfois, ses yeux quittaient les miens pour descendre sur mes seins, il se rendait compte que quelque chose dans ma mise était anormale, les boutons de mon chemisier ne parvenant pas à cacher ma chair tendre et irritée. Alors je l'ai laissé faire jusqu'au bout, jusqu'à ce que j'atteigne l'orgasme, ce tressaillement que plusieurs voyageurs ont du percevoir car plusieurs regards se sont tournés vers moi. J'ai fait au mieux et mes lèvres étaient presque en sang tant je les mordais fort. Le sourire de l'inconnu est devenu radieux, ses massages sont devenus plus doux, moins accentués, j'ai compris qu'il accompagnait mon atterrissage et qu'il me remerciait en même temps pour cet épisode.

Quand je suis arrivée à destination, je lui ai souri rapidement avant de descendre sur le quai où j'ai pris une grande aspiration avant de reprendre le chemin de la maison.

9 Mars....

Laissez moi vous raconter ce qu'il s'est passé ce soir la à la maison, et plus tard nous envisagerons d'aller consulter pour ses seins qui ne veulent pas dégonfler.

J'ai jeté un regard rapide vers mes seins, ils étaient toujours aussi enflés et durs, il y avait maintenant près d'une heure que j'avais quitté la boutique et j'avais toujours ces deux ballons en guise de seins. Heureusement que Georges est en voyage pensais-je, mais Eric lui, est bien à la maison, pas question de lui dire quoi que ce soit, il me prendrait pour folle. Pourtant je ne pourrais pas lui cacher mon état, que lui dire?

Tout en marchant dans la rue je ruminais ces pensées, serrant mon manteau contre mon corps, cachant au mieux mon état, je rasais les murs espérant ne croiser personne de connaissance. Pourtant il me fallait aller prendre un peu d'épicerie chez monsieur Ali, le seul ouvert encore passé dix neuf heures. Je devais être au comble de la confusion quand j'ai poussé sa porte. J'ai fait au mieux pour l'éviter, tournant dans les rayons, jouant à cache-cache pour ne pas croiser son regard.

Cependant, il m'a bien fallu passer à la caisse et Ali a vu.

«Qu'est-ce qu'y se passe Ma'am Maryse? Z'avez des ballons de foot à la place des nichons!»

Instantanément j'ai rougi, confuse, ne sachant trop quoi répondre, mon regard errait pour éviter le sien. Ali a souri en me rendant ma monnaie. «Z'avez encore fait des folies j'parie!»

«Non! Non! Pas du tout, je ....enfin...j'ai passé un examen, voila!»

«Bin dites donc! Il vous a drôlement examiné le mec! Quel pied il a du prendre!»

Sans répondre je raflais mes commissions et me précipitais dehors où l'air frais me fit le plus grand bien sur le visage.

Restait plus qu'à affronter Eric et la je ne voyais pas comment faire, sur que c'est la première chose qu'il verrait, que lui dire, comment trouver une excuse. Je maudissais le vieux forban qui m'avait mise dans cet état, mais au fond j'étais autant coupable de m'être laissée aller à de telles extrémité dans la boutique. C'est donc avec un sentiment mélangé de colère et de honte que j'ouvris la porte pour entrer à la maison.

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