Category: Inceste/Tabou Histoires

Les Jumeaux Croisés 07

by LazarusHarshaw©

Chapitre 7 : L'Eclosion

Le lendemain, peu après onze heures, c'est une Françoise en nage et légèrement hors d'haleine qui se présenta à la porte de la maison de Lucie

« Bouh ma chérie, je ne t'embrasse pas avant d'avoir pris une douche » fut la première chose qu'elle dit lorsque la maîtresse de maison lui ouvrit la porte. « Quelle idée de vouloir maigrir! »

Lucie lui céda le passage en riant et la suivit dans la salle de bain, préparant savon et serviette tandis que son amie se déshabillait.

« J'ai de quoi me changer dans mon sac à dos » dit-elle encore en entrant dans la baignoire.

Quelques minutes plus tard, elle en ressortait ruisselante et s'assit sur le rebord pour s'essuyer « Et en plus, cela fait aux pieds » ajouta-t'elle d'un ton plaintif.

« Quand tu seras sèche, je te masserai les pieds » lui répondit Lucie pour la consoler.

« Tiens, où sont nos jeunes? » s'enquit la rouquine tandis qu'elle se séchait vigoureusement le dos, faisant du même coup valdinguer ses gros seins.

« Je les ai envoyé faire les courses. J'avais besoin d'un peu de repos. Ils m'ont sauté dessus aux aurores et n'ont pas arrêté de me faire l'amour comme si j'étais une machine à jouir »

« Ca explique tes yeux cernés ma biche! Moi qui croyais que tu avais mal dormi »

« Après la soirée d'hier, j'étais vannée mais j'ai magnifiquement bien dormi ; ils m'avaient déjà épuisée! Viens t'étendre sur le lit, je vais te raconter tout ça en te massant! »

La rouquine, toujours nue, se laissa tomber sur le lit et tendit son pied droit à son amie qui commença à lui masser la plante des pieds, lui arrachant de petits cris de contentement.

« Donc, ce matin, je me suis réveillée la première , j'ai pris une douche et je suis descendue en robe de chambre regarder les infos du matin. Une heure plus tard, ils sont descendus tous les deux, nus comme des vers et figure-toi que Lolo avait une magistrale érection matinale malgré tout ce qu'il avait éjaculé hier. Ils m'ont dit qu'ils voulaient me remercier pour l'accueil alors Léa s'est mise à genoux devant moi, a ouvert ma robe de chambre et m'a léchée et branlée jusqu'à ce que je sois bien ouverte et toute mouillée là où tu sais. Alors elle a dit à Bite d'Ane que j'étais prête et il m'a soulevée pour me porter vers une chaise du living. Il s'est assis, m'a fait pivoter pour que je lui tourne le dos et m'a empalé sur son monstre. Il m'a soulevé deux ou trois fois pour bien m'élargir et j'ai joui une première fois. Puis Léa est arrivée et elle a recommencé à me lécher. En quelques minutes, ils ont réussi à me faire jouir de nouveau. Comme j'étais à moitié KO, Léa s'est penchée sur la table et à dit à Loïc de lui faire l'amour. Tu aurais dû voir le spectacle! Il y allait à fonds et elle gémissait chaque fois que son énorme verge venait buter contre sa matrice. Et à chaque fois, je voyais ses gros nibards sauter en l'air! Ma-Jes-Tu-Eux! Bref, quand elle a crié en atteignant l'orgasme, j'étais plus que prête pour un nouveau tour de manège. Alors notre étalon -- qui n'avait pas encore joui -- m'a fait me pencher sur la table face à Léa et m'a baisée avec autant de vigueur. Mais cette fois, je voulais qu'il vienne en moi alors j'ai fait jouer mes muscles internes et j'ai réussi à traire ses couilles avant de partir moi-même »

« Ouf ma chérie » dit Françoise « Ca me fait un de ces effets ton histoire, occupe-toi vite de l'autre pied avant que je ne te saute dessus! »

« Surtout que ce n'est pas fini » renchérit Lucie en changeant de pied « Quand Loïc a eu fini de bien se vider en moi, Léa est venue récupérer son bien comme elle disait . Elle m'a de nouveau léchée pendant que Lolo me fourrait sa verge dans la bouche pour que je le suce. J'ai bien cru que j'allais l'avoir car je lui caressais les couilles comme il aime pendant que je le suçais mais Léa m'a fait jouir trop vite et je n'ai pas réussi à l'achever. Il s'est retiré et m'a dit qu'il devait garder des réserves pour toi. »

« Il apprend vite et c'est un gentleman notre étalon » commenta Françoise.

« Et un gorille en rut » ajouta Lucie en souriant malicieusement.

« Bon mais tout cela m'a mise en appétit » minauda la rouquine, « tu n'as pas envie de me mettre au diapason avant qu'ils n'arrivent? »

« Une léchouille et un petit fisting? » demanda Lucie

« Le fisting s'impose si Bite d'Ane est aussi en forme que tu le dis » répondit Françoise.

« Je vais te faire hurler » dit Lucie faussement menaçante en avançant dans le fourche des jambes de son amie. Elle écarta les grandes lèvres de la vulve déjà humide et y plongea deux doigts puis trois tandis qu'elle commençait à lécher le clitoris proéminent. Françoise démarra au quart de tour et commença immédiatement à geindre pendant que Lucie fourrait toute sa main dans son con béant. Lorsqu'elle referma son poing à l'intérieur du vagin de son amante, celle-ci poussa un petit cri qui se transforma en feulement strident lorsque Lucie commença à l'astiquer avec son poing, son poignet raidi et le début de son avant-bras qui disparaissaient dans la grotte maintenant ruisselante. Après quelques minutes de ce double traitement, Françoise s'arc-bouta, ce qui colla son bassin sur la figure de Lucie tout en poussant le fisting à son maximum. Elle cria son plaisir, triturant ses gros seins qui lançaient de petites décharges électriques jusque dans son ventre. Elle se calma doucement et ouvrit les yeux pour voir deux visages hilares qui la contemplaient par-dessus les épaules de Lucie.

« Cochonnes!» dit Léa en souriant de toutes ses dents

« Vous auriez pu nous attendre » reprocha Loïc qui massait son sexe à travers son jeans.

« Oups » dit Lucie en se dégageant, « prises en flagrant délit! »

« Pour me faire pardonner » intervint Françoise « j'ai une proposition à vous faire! En venant ici, avec cette chaleur, j'ai pensé à une de mes clientes qui est aussi une patiente de Lucie. C'est une veuve richissime qui a une grosse propriété à une dizaine de kilomètres d'ici avec une gentille petite piscine dans une grande véranda attenante à la maison. Elle m'a souvent invitée et Lucie aussi, c'est un très chouette endroit!»C'est tellement isolé qu'on peut se baigner et prendre le soleil complètement à poil, ça ne gêne personne. On peut même y faire l'amour ....

Lucie l'interrompit d'un ton de reproche « Si c'est bien de Sylvie d'Arcques dont tu parles, il faut tout leur dire Soise » . Son amie rougit légèrement et continua « Bon, il faut aussi vous dire que même si cette dame est encore très bien, elle vient de fêter ses soixante ans et cela se voit ... surtout de près parce qu'elle aime bien la chair fraîche et considère que tout un chacun qui entre chez elle est une proie potentielle »

Léa la regarda abasourdie « tu veux dire que pour qu'on puisse profiter de la piscine, je vais devoir livrer mon Lolo à une vieille peau obsédée? »

« Hum, qui te dit que seul Lolo passerait à la casserole? » intervint Lucie très gênée

« Mais qu'est-ce que vous avez comme fréquentations » s'indigna Loïc

« Une femme très riche mais seule, qui partage volontiers ses avantages matériels et qui ne demande qu'un peu de plaisir en échange de sa générosité » répondit Françoise qui reprenait de l'assurance

« Et vous lui avez déjà donné du plaisir? » s'enquit Loïc « Toutes les deux?? »

« Ben, nous sommes aussi célibataires » intervint à nouveau Lucie « Et puis une gyneco et une infirmière sont moins bégueules que le commun des mortels »

« Je ne savais pas que tu étais infirmière » dit Léa à Françoise

« J'avais commencé Médecine en même temps que Lucie mais j'ai abandonné en cours de route . C'est de cette époque que date notre amitié »

« Bon, pour revenir à nos vieilles chèvres lubriques» reprit Loïc, si je comprends bien, on peut profiter d'un petit coin de paradis à condition que je me tape -- et Léa aussi- un tour de piste avec la vieille. Si on est d'accord, on pourra rester ensemble au moins? Je ne suis pas certain de pouvoir bander si je reste seul avec l'ancêtre ... »

« Tu serais d'accord? » demanda Léa incrédule

« Bah, un quart d'heure pénible avec une cougar bisexuelle en échange de quelques heures de plaisir, ce n'est pas trop cher payé »

Il ne vit pas Lucie qui se mordait les lèvres pour ne pas ajouter de commentaire

Une heure plus tard, la voiture de Lucie pénétrait dans une grande propriété entourées de haies et le quatuor se retrouvait devant une monumentale porte d'entrée qui donnait accès à la villa de Sylvie d'Arcques . la porte s'ouvrit mue par un moteur électrique et la maîtresse de maison apparut sur le seuil. Françoise qui menait la troupe la salua et l'embrassa puis ce fut le tour de Lucie. Lorsqu'arriva le tour de Léa, la sculpturale Sylvie la toisa malgré les dix centimètres qu'elle lui rendait et dit d'un air approbateur « Charmante, vous êtes charmante jeune Léa » . Elle lui tint les mains et la fit tourner sur elle-même pour admirer les formes de la jeune fille mises en valeur par la mini-jupe et le body qui ne laissaient pas grand-chose à l'imagination. Lorsque Loïc se présenta, elle émit un petit gloussement discret en disant « Et voici le jeune Loïc dont Françoise m'a vanté les mérites » Elle lui prit le bras, palpant son biceps au passage et les mena vers l'intérieur de la maison. Loïc, encombré par le panier pique-nique qu'ils avaient préparé avant de partir, se laissa faire, fasciné par l'élégance de cette femme qui ne paraissait pas son âge hormis quelques rides au niveau du cou.

Après avoir traversé un hall et une salle à manger plus grande que la maison de Lucie toute entière, ils débouchèrent dans un patio attenant à la fameuse véranda. Sylvie leur indiqua la porte d'un geste théâtral en ajoutant « Installez-vous selon votre meilleure convenance, j'ai donné son après-midi à ma dame de compagnie » « Sa femme de ménage » souffla Lucie à l'oreille de Loïc.

Il posa le panier sur une table basse et rejoignit ses trois compagnes qui se déshabillaient en accrochant leurs vêtements dans une sorte de penderie. Ils se précipitèrent ensuite, nus comme des vers, dans la piscine et jouèrent comme des gamins avant d'abandonner l'un après l'autre la fraîcheur de l'eau pour la chaleur du soleil, allongés sur les transats qui peuplaient les bords de la piscine.

C'est à ce moment que Sylvie fit da réapparition, ses cheveux gris acier coiffés en chignon serré et vêtue d'une longue robe de chambre. Elle la laissa tomber à ses pieds avant de venir s'étendre, entièrement nue, dans un transat voisin de celui de Loïc. Le garçon ne put s'empêcher de siffloter d'admiration. On ne lui aurait jamais donné son âge. Pas de trace de cellulite, les muscles fermes et le ventre presque plat, elle aurait pu passer pour la sœur aînée de Lucie et était en tout cas mieux conservée que Françoise. Sylvie ne se trompa pas sur sa réaction et , se tournant vers lui :

« Merci mon jeune ami, je constate que mes efforts pour mener une vie saine ainsi que l'expertise occasionnelle d'un chirurgien esthétique me permettent encore d'intéresser la jeune génération. Ceci-dit, voyez-vous un inconvénient si je vérifie que les dires de mon amie Françoise n'étaient pas exagérés équipement? »

Et comme Loïc ne réagissait pas , elle ajouta « Qui ne dit mot consent » et posa sa main sur la verge au repos de son voisin. Le seul contact de cette femme sophistiquée émoustilla le garçon et son sexe se mit à grossir. Alors qu'il n'avait pas encore atteint sa pleine érection, Sylvie commentait déjà « Impressionnant!»

Lucie, installée de l'autre côté de la piscine avait suivi le manège et eut un petit rire

« Impressionnant? Tu n'as encore rien vu Sylvie! »

Loïc regarda sa sœur allongée en plein soleil aux côtés de Lucie. Celle-ci lui fit un petit signe et se caressa les seins en lui envoyant un baiser. Puis elle écarta les jambes, lui donnant une vue imprenable sur sa chatte rasée et déjà légèrement entrouverte. La verge du frère passa alors à la dimension supérieure et il entendit Sylvie s'exclamer

« Bonté divine! Je comprends mieux que vous soyez à même de satisfaire trois jeunes femmes dans la fleur de l'âge » et s'adressant à Léa « Ma chère enfant, auriez-vous l'extrême bonté de me prêter votre ami pour quelques instants? Je ne peux pas résister à pareille tentation! »

« Vous avez ma bénédiction Sylvie mais je préfère assister à vos ébats ; mon Loïc est parfois un peu sauvage et je dois le contrôler! »

« Un peu sauvage? ma fois, cela fait bien longtemps que je n'ai plus eu l'occasion de me plaindre d'un trop plein de virilité. Tant que nous y sommes ma chère, voudriez-vous nous prêter votre concours pour assurer le succès de cette rencontre? »

« Mais certainement » répondit Léa qui se leva et contourna la piscine. Sylvie s'était déjà relevée et avait sorti un épais matelas de mousse d'un cabanon de rangement. Avec l'aide de Loïc, elle l'étendit au bord de la piscine. Elle se laissa ensuite tomber à genoux sur le matelas et s'empara de la verge érigée.

« Grandiose » soupira-t'elle avant de l'enfourner dans sa bouche. Léa embrassa son frère et lui caressa le torse avant de descendre le long des pectoraux et de filer entre ses jambes pour lui caresser les bourses. Loïc empoigna ses seins et téta chaque mamelon avec application. Sylvie se révélait comme une fellatrice particulièrement experte et Loïc dut bientôt la repousser pour ne pas laisser monter la pression trop vite et trop tôt. Il dit d'une voix rauque à sa sœur

« Tu veux bien la réparer ma chérie? »

« Avec plaisir . couchez-vous et écartez les cuisses Sylvie, j'arrive! »

Aussitôt dit, aussitôt fait, Léa se mis à lécher consciencieusement la vulve de son hôtesse, s'étonnant de sa fraîcheur et de l'abondance des sécrétions. « Lucie doit lui prescrire des hormones ou quelque chose comme ça » se dit-elle . Elle ajoute ses doigts à ses caresses buccales et lorsque Sylvie commença à haleter, elle se releva et alla l' embrasser à pleine bouche, lui rendant la cyprine qu'elle avait recueillie. Elle dit ensuite à son frère « Vas-y mon chéri, elle est à toi. Je compte sur toi pour lui laisser un souvenir impérissable de notre visite »

Sylvie déglutit péniblement et croassa « c'est déjà en bonne route, merci ma douce »

Léa rejoignit l'autre côté de la piscine où Françoise et Lucie se masturbaient doucement en regardant le spectacle de l'autre côté. « Je peux me joindre à vous? »

« oh oui ma chérie, viens ; c'est tellement mieux qu'en vidéo! »

Loïc s'agenouilla entre les cuisses de la sexagénaire et la laissa présenter sa verge en extension complète à l'entrée de son vagin . Elle l'introduisit précautionneusement en murmurant « mon dieu, mon dieu ». Le garçon décida de brusquer les choses et commença à pousser de son côté lui arrachant un « aaahhh » d'émerveillement

« Mais c'est Armageddon! » cria t'elle aux trois spectatrices de ce coït inter-générationnel

Elles rirent de bon cœur tandis que leur amant unique achevait l'invasion de l'antique vagin avec un grand « humpf ». Il lui laissa une minute pour s'habituer aux dimensions de l'envahisseur puis, bien campé sur ses genoux et ses coudes, se mit à la prendre vigoureusement. Elle avait enlacé son jeune amant de ses bras et jambes et criait de joie à chaque pénétration. « C'est trop bon, c'est trop fort! » et perdant le sens des convenances, se laissait aller à un vocabulaire des plus communs « Vas-y mon étalon!Bourre ma vieille chatte! Fais jouir ta femelle en chaleur! »

Lucie et Françoise, stupéfaites par ce langage incongru dans la bouche de leur hiératique amie, n'en oubliaient par pour autant de se masturber avec application, regrettant seulement de ne plus avoir l'engin de Loïc à leur disposition. De son côté, Léa rattrapait son retard et avait commencé à gémir à l'unisson de ses amies.

Sylvie se tétanisa soudain en hurlant « MERCI! MERCI! JE VIENS! » et son amant l'empala une dernière fois, la laissant agitée de convulsions sauvages. Il la laissa se calmer et lorsqu'elle rouvrit les yeux, lui dit simplement « 2ème round ». Il bascula sur le dos, l'entraînant avec lui et elle se retrouva empalée sur son jeune partenaire, le dominant mais néanmoins clouée à lui par le monumental pal .

Sans lui laisser plus de répit, il la souleva par les hanches comme un fétu puis la laissa retomber sur lui, lui arrachant à nouveau un gémissement de plaisir. Léa, n'y tenant plus, revint vers le couple et s'agenouilla sur le visage de son frère, présentant sa fente bien gonflée de désir à sa langue maintenant experte. Elle embrassa à nouveau la belle rombière et, lui prenant les mains, les posa sur sa poitrine et lui murmura « fais-moi les seins »

Sylvie gémit de désir en touchant la lourde et ferme poitrine et la caressa avec une avidité qui en disait long sur son penchant bisexuel. Loïc, la vue masquée par le sexe dégoulinant de sa sœur, devinait néanmoins ce qui se passait aux étages supérieurs et donnait de grands coups de rein dans l'intimité de la Dame d'Arcques qui gémissait maintenant en continu.

Léa finit par se cabrer avec un grand « AAAH JE JOUIS », entraînant dans son sillage l'orgasme de Sylvie qui s'effondra, agrippée à ses seins tandis que Loïc la labourait avec application. Elle inonda littéralement le ventre du garçon en sanglotant « Arrête, je n'en peux plus » et il se calma aussitôt, se contentant de bander ses muscles pour faire vibrer son engin dans la vulve contractée. Léa se dégagea de l'étreinte d'une Sylvie dans les vapes, se releva et, avec l'aide de son frère, la fit rouler sur le côté. Puis fixant sa verge toujours bandée , elle lui dit « J'espère que tu as encore des réserves pour moi fr .. Lolo »

« Pas de problème ma biche » répondit-il, montre-moi ton beau cul et je me charge du reste »

« Pas cette fois-ci! pas mon cul! Je veux une vraie saillie! Tu es mon étalon à moi et tu dois me le prouver! »

Elle se mit néanmoins à genoux à côté de Sylvie et Loïc se positionna derrière elle , mandrin en avant. Il lui prit les hanches et sans aucune aide pénétra la vulve béante

« AAAAHHHH! ENFIN! » rugit l'adolescente , réveillant au passage sa vieille amante qui se retrouva aux premières loges pour voir la bite géante se loger dans le vagin accueillant.

Et tandis que Loïc entamait un puissant va et vient, elle rampa sous Léa et s'empara de ses magnifiques seins, les malaxa et les suça comme si elle essayait de la traire.

« Je veux ton sentir ton foutre » gémit Léa au comble de la félicité. « je veux sentir ton sperme tout au fonds de moi? Viens, baise-moi et lâche-moi tout »

Loïc n'avait pas besoin d'autant d'encouragements et se lança à corps perdu dans une danse frénétique, accroché aux hanches de sa sœur. Déjà bien chauffé par les deux orgasmes de Sylvie, il sentait bien qu'il ne tiendrait plus très longtemps et il accentua ses pénétrations pour buter contre la matrice de sa sœur qui elle-aussi était au bord de l'orgasme . Dans un dernier coup de reins particulièrement violent, il eut l'impression qu'il entrait dans son utérus et il se vida en elle à gros bouillons en poussant un grognement de plaisir

« CONTINUE! J'Y SUIS PRESQUE! » hurla sa sœur. Arc-bouté, Loïc continua à la besogner, luttant contre la débandade qui menaçait sa verge. Aidé par le crescendo de gémissements qui sortait de la gorge de sa tendre jumelle, il tint bon, reprenant petit à petit sa cadence effrénée. Sylvie avait cessé de sucer les seins de Léa pour assister au somptueux enfilage qui avait lieu devant ses yeux. Pleine d'admiration, elle vit goutter du sperme hors de la jeune chatte au-dessus d'elle et comprit que ce super-étalon ne laissait pas sa propre jouissance interférer avec le plaisir de sa partenaire.

Laquelle beugla un « YAAAAAHHHH » tonitruant avant de se laisser aller sur le corps de la cougar. Elle resta prostrée un long moment, couverte de sueur, avant de marmonner « trop chaud » et de piquer une tête dans la piscine. Elle se laissa couler, appréciant la fraîcheur de l'eau sur sa peau et particulièrement sur son entrejambe. Elle écarta les grandes lèvres de sa vulve et frissonna lorsque le liquide pénétra en elle. « Ouf, ça fait du bien » se dit-elle. Lorsqu'elle revint à la surface , elle fut aussitôt enlacée par Lucie et Françoise qui avaient sauté à sa suite dans la piscine..

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